Nostalgie d'une ancienne arrivée

[Flash-Back]

Hiraku, âgé maintenant de tout juste 16 ans arrivait en vue de la porte du village de la brume, à peine était-il dans les régions environnantes que la brume c'était levée. Ce que l'on racontait sur cet ex-village sanguinaire était donc vrai. Il était épuisé de son voyage en bateau qui avait duré plus longtemps que prévu et aussi de son combat qu'il venait gagner avec brio en tuant pour la première fois sans aucune culpabilité envers les trois ninjas du brouillard sanglant. Plus il se rapprochait, plus l'exitation s'emplifiait. Il avait hâte de visiter le village, mais aussi et surtout d'affronter des ninjas, de le devenir lui-même ou du moins se régulariser en tant que tel puisque il arrivait à rivailiser contre des ninjas de rang Chunin,voir même contre des Jônin. Quant il fut devant la porte, un garde l'interpella:

-Et toi là-bas !
-Qui moi ?,lui demandait Hiraku surpris.
-Non celui derrière toi, lui répondit-il d'un ton moqueur
-Pas la peine de vous payer ma tête. QUe me voulez-vous ? ,lui dit alors Hiraku qui commençait à être furieux
-Je suis un des deux gardes de la porte nord du village. Comme tout étranger tu dois te présenter et remplir se document disait de où tu viens,etc...
-Très bien. Je me nomme Hiraku
-Ton nom !

Hiraku ésita un instant puis il lui fit une présentation conforme qui comprenait son nom et son âge. Il demanda aussi de tenir son nom secret sauf au Kage du village et lui expliqua qu'il voulait devenir ninja. Celui-ci lui parut surpris et lui dit où il devait aller pour devenir citoyen et shinobi de Kiri.

[Fin du Flash-Back]

Hiraku encore plein de souvenir sortit de la rivière avoisinante de la porte nord. C'est rempli de souvenirs et d'émotions qu'il rentra au village,car il commençait à faire nuit et qu'une mission l'attendait sûrement le lendemain.

Cela faisait des mois que le mizukage s'était évanouis. Bien qu'elle n'eut pas l'honneur de connaitre les raisons de son départ, cette dernière était suffisaent aguérie dans l'art de la manipulation pour s'immisser dans son entourage et lui suggeré une idée à même de la propulser dans le cercle restreint des figures importantes du village.

FLASHBACK:

Par une froide nuit d'automne le mizukage avait convoqué Asahi dans son bureau pour lui confier une mission sans importance, ce dernier avait la mine sombre et préocupé, ce qui en soit n'augurait rien de bon.

- Cela ne me regarde pas vraiment, mais étant à votre service je ne peux ignorer votre apparente contrariété. Puis je me permettre de vous demander les raisons de votre préocupation?

Asahi avait parlé sans aucune émotion et pour etre honnete ne s'attendait à aucune réponse. Il s'agissait plus d'une marque de politesse que d'un reel interet ou meme de curisoté car Taorm Uchiha avait toujours fait preuve de mystère comme si son role de mizukage n'était qu'un voile, une simple façade, cachant des activité qu'il souhaitait demeurer secrete.

Ce dernier, se rembrunit, se tortilla sur son siege en poussant quelque grognement désaprobateur comme pour signifier à Asahi qu'une fois de plus elle approchait cette ligne qu'il ne souhaitait pas voir franchir.

Elle inclina simplement la tete et fit demi tour, s'appretant à quitter le bureau sans plus d'explication.

- Attends!

Elle se retourna alors et s'approcha du bureau, posant son regard concentrique sur son interlocuteur.

- Je vais partir.

Il n'avait pas besoin d'en dire plus. Asahi était arrivée à Kiri 5 jours avant le retour du Mizukage et depuis cette date, il n'avait céssé de disparaitre pendant quelques jours, parfois quelque semaine. Au vu de son comportement, cette abscence future s'avererai plus longue et il devait craindre un nouveau soulevement. En effet, Asahi avait été témoin de tentative de coup d'état le jour même de son arrivé. Des opposants à la politique ferme de Taorm avait pris d'assaut la tour et menacer quiconque soutiendrait le Kage de mort. Par chance, Taorm été arrivé avant qu'une reelle resistance se mette en place et avait étouffé dans l'oeuf la tentative de rébélion. Cependant, rien ne pourrait prévoir qu'il rentrerait à temps cette fois ci.

Asahi s'inclina à nouveau.

- Votre place sera toujours votre lorsque vous rentrerai.

Elle quitta ainsi le bureau laissant Taorm derrière elle. Pourquoi le mizukage lui avait il accordé sa confiance et la délicate tache d'etre la garante de son pouvoir sur place nul ne le comprit? Cette fille silencieuse qui érrait telle une ombre dans le village préfférée aux AMBU et jonin qui le servait depuis tant d'année. Une certaine rancoeur naquit vis à vis d'Asahi qui ne fit d'ailleur rien pour se faire apprécier de ses collégues mais bien qu'elle n'en dit rien, elle, conaissait la réponse.

Dés son arrivée, elle avait clairement fait comprendre au mizukage qu'elle ne serait jamais un membre de ce village dont le sort l'importait autant qu'une vulgaire feuille trimbalée par le vent. Ce qu'elle voulait c'était l'enseignement du puissant mizukage et lui accorder son aide en échange. Cette proposition particulière avait d'abord provoqué la méfiance de Taorm mais il s'était vite rendu compte qu'il pourrait tiré parti de la situation. Asahi lui avait fait allégence à lui et non au village se qui tout bien considéré était dans la conjoncture actuelle un atout de taille.

Ainsi, Asahi telle l'ombre qu'elle était s'assura chaque jour d'éliminer les opposants au kage et d'assoir sa position pour préparer son retour.

FIN DU FLASHBACK

Elle érrait donc cette nuit en quête d'une éventuelle réunion clandestine lorsqu'elle entendit un bruit. Un homme s'était introduit dans le village et se dirigeait vers le centre. Elle l'avait déja croisé c'était certain mais elle ne se rappelait pas qu'un homme de retour de mission devait arriver ce soir. S'intérogeant légitimement sur les raisons de cette sortie elle l'aborda, il ne fallait négliger aucune piste, les rebelles pouvaient trés bien préféré la sécurité de l'extérieur pour éviter la terrible inquisitrice de Taorm.

- On se promène à des heures imbues? Tu dois etre bien occupé...

Un corp de face et un autre corp derrière le garçon, sa présence avait quelque chose de térrifiant pour quiconque la croisait. Son nom était peu à peu devenu synonime de mort et donc de cruauté ce qui était d'ailleur tout à fait faut. Asahi n'avait rien de cruelle et éxécutait simplement sa mission sans se préocuper du reste, l'imaginaire et l'intolérence avait fait le reste. Les gens introvertit et mesuré avaient de tout temps était la cible d'incompréhension, comment aurait elle put faire exception lorsqu'elle meme avait 3 corps dont le dernier en date était celui d'un jonin du village.

Hiraku voulait trnaquillement rentré chez lui après cette journée qu'il avait passé à améliorer son ninjutsu et son kenjutsu. Celui-ci passait dans les rues où le brouillard règnait penssivement. Il espérait être seul quelques minutes quant il vit une jeune femme arriver vers lui. Il espérait qu'elle ne ferait pas attention à lui. C'était trop espérer de sa part puisque à peine l'eut-elle aperçu, qu'il fut apostrophé par celle-ci:

- On se promène à des heures imbues? Tu dois etre bien occupé...

Hiraku soupira, la jeune femme l'avait finallement remarqué. Que devait-il faire ? Il voulu partir sans lui répondre, mais cela aurait été mal vu de sa part et puis cette jeune femme avait un certain charme et il ne voulait pas être impoli alors il lui répondit:

-Disons que j'ai été occupé toute la journée et je n'ai pas vu le temps passé. C'est pour ça que je rentre chez moi à cette heure ci. Mais dîtes moi, je pourrais vous retourner la question. Qu'est-ce qu'une jolie jeune femme comme vous fait dans nos belles rues à cette heure de la nuit ?

Il attendit sa réponse en espérant qu'il l'avait déstabilliée au point qu'elle le laisserait partir sans d'autres questions.

Visiblement, le garçon n'avait pas la moindre idée de qui elle était, ce qui exclué d'emblé le fait qu'il puisse etre un haut gradé. Cependant, mieux valé ne pas en resté la. Le fait qu'il soit un chuunin ou un genin n'excluait pas le fait qu'il puisse s'etre lié avec quelques fauteurs de trouble remetant en cause l'autorité de Taorm.

Le corp de Gakidou posté en retrait derrière l'homme se fit plus pressant. Se collant contre lui et glissant un kunai au tranchant glacial sous sa gorge, elle lui fit comprendre que ça question n'était pas un simple échange de politesse.

Tendou repris donc:

- Je crois que tu as mal compris... Qui es tu? Comment se fait il que tu sois sorti du village sans ton chef d'équipe? Dois je t'éliminer ou te laisser la vie sauve?

Cette dernière question aurait sans doute fait rire n'importe qui - Qui répondrait qu'il est nécéssaire de le tuer? - mais dans la bouche d'Asahi cette question n'avait rien de drole. Elle signifiait simplement à quel point elle n'avait aucune envie de perdre son temps et indiquait insidieusement a ses interlocuteurs qu'il était de toute façon inutile de mentir puisque si crime il y avait eu, le chatiment serait appliqué tot ou tard.

- Ne crois pas que j'en ai aprés toi. ça n'a rien de personnel, je ne fais que mon travail.[justify]

Hiraku qui avait activer ses sharingan derrière sa capuche, s'avait ce qu'elle avait l'intention de faire, mais se laissa faire. Elle avait du cran et il aimait ça. Sans aucune émotion quelconque, il lui répondit:

-Je vois que tu est très impatiente et donc je ne vais pas laisser ton esprit se torturer par un millier de question très longtemps. Je sais très bien que tu luttes contre ceux qui n'apprécie guère maître Mizukage et je n'ai rien avoir avec eux. Pourquoi voudrais-je qu'il perde le pouvoir. Je suis Hiraku Uchiwa, je suis ici depuis maintenant une dixaine d'années et je suis un Chûnin. Si tu dois me laisser la vie sauve, a toi de voir. Le seul regret quej'aurais sera que je n'aie pas éliminer le meurtrier qui a tué mes parents et mes grands-parents et par la même occasion tué celui qui a fait de moi un ermite pendant 10 longues années. Est-ce que cela te suffit comme réponse Asahi Yuugure?

Hiraku la main sur la garde de Kusanagi était prèt a riposté si elle faisait le moindre mouvement brusque, la jeune femme au teint mât et aux cehveux violet semblait réfléchir à sa réponse. Et Hiraku toujours aussi calme attendit de voir ce qu'allait répondre la jeune femme.

Si Hiraki repondit de bonne grace aux injonctions d'Asahi, elle ne put s'empecher de ressentir une certaine tension lui paraissant suspecte. Elle écouta donc attentivement son récis, elle laissa transparaitre son étonement lorsque ce dernier prononça son nom.

- Ainsi tu sais qui je suis? ...et tu te crampones à la garde de ta lame comme si elle pouvait t'etre d'un quelconque secour?...intéréssant....Est ce la un simple reflexe, une marque de folie, ou tout simplement du courage?^

Il n'y avait aucune moquerie dans le ton d'Asahi. Meme si elle nourissait des sentiments ambigus à l'egard des Uchiha la question posée ne l'avait pas été par condécendance.

Asahi avait pour des raisons personneles conduit énormément de recherche sur le sharingan et les uchiha. Esperant trouver une piste qui la conduirait à son but elle avait épluché tout les documents de la bibliotheque qui lui étaient accessible mais malheureusement ses recherches s'était avérées infructueuses. Elle s'était sentie déçu certes mais n'avais pas pour autant perdu espoir. D'une part il lui restait bien du travail avant d'aquérir la puissance nécéssaire auprés de Taorm ou d'autres, et d'autres part, le moment venu, peut etre que Taorm lui en aprendrait il un peu plus.

En ce qui concernait l'homme devant elle, elle n'allait pas tardé à etre fixé sur son utilité personelle.

Fixant sur lui ses pupilles cerclées de gris elle laissait aller ses méditations sur le clan Uchiha. Hormis quelques exceptions, ils représentaient tout ce qu'il y avait de plus méprisable aux yeux d'Asahi, imbus de leurs personnes, ils agissaient en perpetuels adolescent incompris dont la seule issues possible était de persécuter l'humanité. Leurs yeux et le petit nombre de survivant les conduisaient quasi inmancablement à se considerer comme des divinités ce qui les rendaient d'autant plus ridicules. En effet, tout comme elle, ils étaient des décendant du rikkudou mais leurs yeux étaient d'une affreuse banalité, se transmetant de génération en génération à chaque rejeton du clan. Pourtant, ils avaient créer une légende, "le clan maudit" respecté et crain de tous, alors que le rinnengan, l'oeil du rikkudou, l'oeil de l'homme ayant sauvé l'humanité et crée le ninjutsu avait sombré dans l'oubli et n'était connu que de rares érudits. Elle nourrissait ainsi une certaine rancoeur à leur egard, la même rancoeur que pourrait nourir un timide et discret prodige à l'égard de son petit frère qui s'attirait par son exubérance les regards émerveillés de l'assistance.

L'arrivée de Nigendou la coupa de ses reflexions. L'ancien numéro 45 était méconnaissable. Ces long cheuveux roux impécablement propres et lissés lui donnaient un air de dandy dans son kimono noir. De même ses piercing contribuaient à son charme. Contrairement à Tendou et gakidou, il n'avait pas de rinnengan. Ces paupières brulées était sans doutes le seul vestige de son existance passée, la punition infligée par Asahi pour avoir posé son regard lubrique sur elle. Mais fort heureusement, ceci n'entamait aucunement les capacité de perception du corps. Il se dirigea donc avec une grace féline vers le jeune Uchiha et posa sa main sur sa tête.

- Nous allons verifier tes dires mais ne t'en fait pas, ce ne sera pas douloureux.
----------------
hrp: je te laisse décrire tes souvenirs ^^

Hiraku qui tenait toujours la garde de Kusanagi, ne fut pas étonné que la jeune femme lui demande s'il la tenait par pure folie ou pour une autre raison et il s'empressa de lui répondre que ce n'était qu'un simple réflèxe qu'il avait garder depuis la fin de sa solitude. Effectivement celui-ci avait longtemps été menacé par des pilleurs quelconque ou autre et gardait toujours kusanagi à portée de main. La jeune femme l'intriguait beaucoup, surtout ses yeux. D'un gris clair, elle semblait ne pas avoir de pupille. Hiraku avait un vague souvenir de ce que réprésentait ces yeux et ne se souvenait pas du nom que l'auteur des rouleaux du clan lui avait donné. Cependant il savait que c'était un héritage très précieux qui n'était parfois jamais transmis. Souvent il fallait attendre plusieurs générations pour pouvoir les observés et le dernier qui les avaient possédés à sa connaîssance était un membre de l'a terrible Akatsuki. Tout à coup il sentit une main se poser sur sa tête et quand il entendit:

- Nous allons verifier tes dires mais ne t'en fait pas, ce ne sera pas douloureux.

Ce fut trop tard et Hiraku sombra dans l'oubli.

[Flash-Back]

Hiraku se revaillait doucement quand il entendit sa mère l'appelé. Celle-ci était veuve depuis peut et elle habitait avec les grand-parents d'Hiraku qui n'était autre que Sasuke Uchiwa et Sakura Haruno. Sa mère lui avait raconter que son grand-père était un ninja très réputé et très puissant à son époque. Au début, il ne l'avait pas cru, comment arrivait-il à imaginer un homme comme lui devenir ninja. Cependant il ne doutait pas une seule seconde que sa grand-mère était une ninja. D'après sa mère elle était un ninja médecin très réputé et avait participé tout comme son grand-père à la quatrième grande guerre ninja. Ce qu'il ne savait pas et que sa famille lui cachait était que ses grands-parents étaient ennemis à l'époque. Il fut tiré de ses pensées par son grand-père qui vient le voir pendant qu'il s'habillait. Malgrés son grand âge il avait toujours un air athlétique et imposait le respect. Derrière son étrange carapace se tenait un grand coeur en tout cas, Hiraku savait qu'il l'aimait malgrés qu'il ne lui montrait pas. Sasuke avait attendu qu'il ait fini de s'habillé pour lui dire:

-Hiraku, aujourd'hui je vais t'apprendre ce que tout ninja de notre clan se doit de savoir. Si tu maîtrise une technique Katon alors tu deviendra un homme.

Hiraku d'abord étonné par l'initiative de son grand-père fut déstabillé. Son grand-père voulait lui montrer la voie pour devenir un homme et Hiraku se devait de la suivre. Sasuke l'avait entraîné vers le lac. De là ils s'installèrent sur le bord d'un pont et son grand-père lui apprit tout ce qu'il devait savoir sur le chakra et sur le Katon: l'art de la maîtrise du feu. Puis après quelques heures de cours lui fit une démonstration.

-Katon, Haisekisho: Nuage de cendre

Un giagntesque nuage noir sortit se sa bouche. Très concentré sur son grand-père, il faillit tomber du pont quand il avait entendu qu'il devait faire comme lui. Prenant son courage à deux mains, il avait fait comme son grand-père le lui avait expliquer sans grand succès au début. Et puis petit à petit un nuage de cendre apparu. Nettement plus petit certes, mais un nuage quand même. Il se sentait fière de lui et il vit que son grand père l'était lui aussi.

[Fin du Flash-Back]

Hiraku se reveilla secoué. Quand il eut repris ses esprit la jeune femme au mystérieux dojutsu se tenait toujours devant lui et Hiraku lui dit:

Alors heureuse ?

Asahi avait parcouru la mémoire de l'Uchiha.Entre autre chose sans importance un élément prépondérant semblait avoir une place toute particulière, l'apprentissage de son premier Katon, les souvenir étaient particulièrement net et précis, voir émouvant. Elle farfouilla chaque recoin, son adolescence, ses années d'érrance, éffleura l'assassinat de ses parents. Elle ne s'attarda pas sur ce point par respect pour le garçon et parce quil ne représentait à prioris pas d' importance dans ses recherches.

Elle put également observer et ressentir la cruauté qui l'habitait et le plaisir avec lequel il achevait ses victimes. Le tréssaillement qu'il ressentait à faire souffrir et la fiérté qu'il éprouvé à l'évocation de son sadisme.

*Un bel archétype d'Uchiha*

Elle reprima un rictus de dégout et fut un instant tentée de lui arracher un fragment de son ame. Asahi se ravisa cependant, ce n'était aprés tout pas ses affaires et le mizukage n'appréciérait surement pas qu'elle éllargisse le cadre du profil type des ninja à abatre pour sattisfaire ses petites lubies personnelles. Enfin, elle constatat qu'il n'avait pas tenter de nuire d'une quelconque façon au Mizukage.

- Alors heureuse?

Malheureusement pour Asahi et sa quête personnele, aucune trace de ce qu'elle cherchait dans la mémoire du garçon. En tout cas, rien qu'elle ne sut déja.

- à defaut d'etre heureuse au moins puis je me sattisfaire de m'etre aquiter de mon dvoir envers Taorm.

Gakidou relacha le jeune homme et rengea son Kunai dans sa manche. Le jeune homme au centre du triangle formé par les trois corps était plein d'aplomb et d'assurance.
Le corp de Tendou lui faisant face repris la parole.

- Ainsi tu trouves ce corps à ton gout? Tu as de la chance de ne pas avoir poussé trop loin tes pensées si un jour je dois à nouveau y pénétrer...

Elle esquissa un sourire et désigna d'un geste de la tête Nigendou aux paupières cramoisie.

- regarde ce qui est arrivé au dernier en date.

Les deux corps se retirèrent derrière Tendou, pareil à deux garde du corps résigné. Contre toute attente, ce fut la jeune femme blonde qui repris la parole.

- Tu peux partir si tu le souhaites, tu es lavé de tout soupson... du moins pour l'instant.

Cette petite phrase sonnée comme une plaisanterie bien que le ton de sa voix fut serieux.

Hiraku sentait l'insatisfaction dans sa voix et des milliers de questions lui trotait dans la tête. Cependant il avait raison de pensé que la jeune femme était détentrice d'un dojutsu beaucoup plus puissant que le sien, elle imposait le respect à ses yeux et se dit qu'il allait bien s'entendre avec elle. De plus celle-ci sentait la haine et le mépris envers les autres ninjas à plein nez ce qui le fit sourire. Il avait trouver une personne qui lui ressemblait. Quand elle lui expliqua ce qui était arrivé au dernier ayant trouver son corps à son goût, il trouva que la jeune femme avait une imagination débordante et il lui fit fit remarqué et que malgré cela il la trouvait encore plus à son goût. Puis quand elle lui dit:

- Tu peux partir si tu le souhaites, tu es lavé de tout soupson... du moins pour l'instant.

Il était déçu. Allons bon, elle voulait juste trouver une preuve qu'il ne voulait rien faire au Mizukage. L'idée de prendre le pouvoir ne lui avait jamais traversé l'esprit et il n'y gagnerait rien. Déçu il vit la jeune femme repartir et la question qu'il retenait depuis le début de la conversation sortit enfin:

-Serais-tu une déscendante du célèbre Rikoudou-senin ?
En tout cas,j'ai été heureux de faire ta connaîssance, malgré les circonstances de notre rencontre j'aimerais que l'on devienne ami a moins que je dois devenir aveugle pour que tu le veuilles bien

Asahi sourit sans conviction lorsque Hikaru lui fit remarquer qu'il l'a trouvait d'autant plus à son gout. Au moins elle pouvait lui reconnaitre son aplomb bien qu'il lui en fallusse plus pour lui inspirer des envies meutrières. Le defunt numéro 45, futur Nigendou, avait, pour mériter un pareil sort, largement outrepassé les limites de la décences qu'il siet à adopter envers une dame.

Lorsqu'elle lui eut donné congé et lui tourna le dos, s'appretant à reprendre sa chasse à travers le village, Hiraku la retint.

-Serais-tu une déscendante du célèbre Rikoudou-senin ?
En tout cas,j'ai été heureux de faire ta connaîssance, malgré les circonstances de notre rencontre j'aimerais que l'on devienne ami...

Asahi interompit ses pas. Comme à chaque fois qu'elle rencontrait quelqu'un, tout un chacun se sentait le besoin de manifester son désirs "d'amitié" ou de tout autre genre d'interaction aussi veine qu'ennuyeuse. Comme toujours, elle faisait comprendre à ses interlocuteurs qu'elle n'avait rien a y gagner et n'avait donc aucun interet pour se genre de baliverne. Elle avait éssayer de comprendre ce qui mottivait quasi innéluctablement se besoin d'intéraction. Même les etres les plus cruels, les plus stupides, les plus intérréssé éprouvait malgré eux ce besoin de communication inutile. Elle en était arrivé à la simple conclusion qu'ils ne pouvaient vivre avec eux même. Ils ont besoin du reflet d'eux même dans le regard des autres pour savoir qui ils sont. Les autres, lorsqu'ils ne sont pas d'une utilité avérée, resteront toujours pour eux autant de miroir dans lequels ils admirent le refflet déformé de la réalité. Ils sont téllement stupide et creux qu'ils n' existent que par procuration.

Elle s'appretait donc une fois de plus à courtoisement décliner ce degorgement de bon sentiment lorsque quelque chose d'extraordinaire se passa alors....

- a moins que je dois devenir aveugle pour que tu le veuilles bien.

Personne de son "entourage" n'aurait pu imaginer qu'elle pouvait etre capable de cela, pas même elle. Mais c'était un fait, pour la première fois depuis bien longtemps, Asahi rît. Ce n'était certes pas un rire gras comme on peut en entendre au detours des rues et aux comptoirs des bars, pas non plus un rire cristallin de demoiselle se pavanant, ni même un ricanement méprisant comme elle pouvait parfois en avoir. En fait, ça ne ressemblait pas à un rire, plutot un pouffement étouffé, mais la sensation, elle, était bien la. Cette agréable pulsion incontrolable, elle la ressentait et en était la première étonnée.

Elle se retourna vers Hiraku, sans doute inconscient du miracle qu'il venait d'accomplir. la jonin l'observa un instant semblant peser le pour et le contre de sa réponse. Ce garçon plein de confiance et d'esprit représentait à lui seul un dilème pour Asahi. Dilème qu'elle résolu comme suit:

- Je n'ai pas besoin "d'amis". Ce que je veux je l'obtient je n'ai pas besoin de m'encombrer de chose inutile... Mais t'as companie me semble pouvoir etre enrichissante d'un certain point de vue.

Elle semblait visiblement peiner à exprimer ses pensées. Comment aurait elle put avouer , s'avouer, qu'elle avait rît, et qu'elle avait aimer ça? Ce n'était certes pas une révolution qui changerait le cours de sa vie, mais à la différence des autres intéraction ça n'avait pas été désagréable non plus.

- Disons que tu n'es pas bavard et qu'en quelques phrasse tu as apporté quelque chose, si ce n'est d'utile, de relativement agréable à ma soirée. Ainsi il se peut que nous puissions entretenir une sorte d'échange.

Se ravisant à moitier elle cru bon de préciser.

- N'attend quand même pas de moi que je vole à ton secours ou que je te porte un quelconque sentiment ou attachement. C'est un échange de bon procédé dont le seul échange sera notre companie et qui sait peut etre quelques missions ou entrainements.

Elle resta ainsi planté un long instant sans savoir trop quoi dire. Elle n'avait pas l'habitude de ce genre de situation et se sentait plutot mal à l'aise. Se rappelant soudain la perche tendue auparavant elle s'essaya à parler d'elle bien qu'elle n'en eut pas l'habitude.

- Oui, tout à fait. Je suis une déscendante du Sage aux six chemins... comme toi en fait. Nous sommes probablement des cousins à un infime degrès... hum... je n'ai pas vraiment l'habitude de discuter en fait. Si tu veux accompagne moi pendant ma ronde, peut etre la marche m'inspirera t elle un peu plus....et si tu es sage je te laisserai tuer le prochain traitre pour assouvir tes envies sadiques.

Hiraku satisfait de la réponse que lui avait donné Asahi, décida de la rattraper. Pourquoi pas se dit-il, il n'avait rien à perdre et celà faisait longtemps qu'il n'avait pas assouvie la chose. Elle réclamait toujours plus de sens ne sachant ce qu'elle était. Cependant ce n'était pas un bijuu, mais comme une seconde personnalitée qu'il abordait lors de ces meurtres. Son second alter ego comme il l'appelait, avait besoin de sang pour se nourir et le seul moyen de lui procurer un sang digne tel qu'il l'avait entendu parler était le meurtre. Petit à petit il avait pris goût à l'assassinat et il commençait même à adorer cela. Depuis sa dernière mission, elle n'avait plus été nourrit et il n'arriverait bientôt plus à la contrôler. La jeune femme le fit sortir de ses pensées en lui avouant:

- Oui, tout à fait. Je suis une déscendante du Sage aux six chemins... comme toi en fait. Nous sommes probablement des cousins à un infime degrès... hum... je n'ai pas vraiment l'habitude de discuter en fait. Si tu veux accompagne moi pendant ma ronde, peut etre la marche m'inspirera t elle un peu plus....et si tu es sage je te laisserai tuer le prochain traitre pour assouvir tes envies sadiques.

Tu sais je ne suis pas toujours sadique tu as du le voir dans mes souvenirs. Mais je veux bien venir avec toi quand même. Ah et on va pars où ?

Hiraku embarassé de ne pas savoir par où la jeune femme faisait sa ronde réfléchissait à ce qu'elle avait bien pu voir dans ses souvenirs à part le souvenir le montrant entrain d'apprendre une technique Katon.

Asahi sentait qu'Hiraku était à peu prés aussi embarassé qu'elle. Il fallait croire que ce n'était pas non plus dans les habitudes du jeune homme de passer plus de trente minutes en companie de la même personne.

Ils ne parlèrent donc que trés peu au cours de cette soirée, marchant cote à cote dans la nuit ils echangèrent quelque trait d'esprit et s'arretèrent à quatre reprises pour interoger des ninjas suspects. La soirée ne fut d'ailleur pas mouvementé puisque les 4 shinobi s'avérèrent blanc comme neige.

- Désolé Hiraku... Il faut croire que je me suis aquité de ma mission avec brio... Peut etre la prochaine fois.

Le temps avait passé plutot vite et déja les premiers rayon du soleil percaient à l'horizon. Asahi en proffita pour stopper le crachin qui tombait en continu sur le village depuis son arrivée. Certain voyait dans cette coincidence un presage de bonne ou mauvaise augure mais en réalité, il s'agissait tout simplement d'un jutsu lui permetant de reperer instantanement la présence d'intru.

Invitant le chuunin à la suivre, elle s'assit sur un banc face au soleil. N'importe qui aurait apprécié la douce chaleur des rayons sur sa peau, mais Asahi, elle, ne le pouvait plus. Les cadavres qui lui servait de corps ne ressentaient ni douleurs ni plaisir et tout comme une nuit sous la pluie ne l'aurait pas affaiblie, la douce lumière sur ses visages ne pouvait lui rendre le sourire. Au moins, esperait- elle, Hiraku apprécierait le geste puisqu'il lui semblait l'avoir vu greloter, même s'il était sans aucun doute trop fier pour l'avouer.

- Tu dois avoir sommeil a présent, peut etre serait il plus sage de nous séparer ici?

Asahi ne dormait pas, enfin trés peu, et pouvais passer des jours à veiller sans aucunement entamer ses reflexes. Elle gardait cependant en tête que tout un chacun n'avait pas les mêmes dispositions à l'insomnie et devait beneficier d'un minimum de repos quotidien pour etre opérationel. Ainsi, elle avait, probablement à juste titre, supposé qu'Hiraku approchait de la ligne rouge aprés de longue heure à errer dans le village. Avant que ce dernier ai put emmetre une quelconque réponse, Asahi l'interompit de but en blanc.

- Est ce que tu accepterais de t'entrainer avec moi? Le mizukage est disons trés occupé et n'a pas de temps à m'accorder, les autres sont d'une faiblesse affligeante. Peut etre que nous pourrions faire équipe pour nos missions et proffiter de nos dojutsu respectif pour repousser nos limites et améliorer nos jutsus....

Pendant qu'il tenait compagnie a Asahi, celle-ci était assez distante. Celle-ci devait voir qu'il était embarassé. A vrai dire Hiraku avait toujours été seul dans sa vie depuis le jour où il avait du se réfugié dans le batiment caché des Uchiwa jusque maintenant. Même quand il était arrivé à Kiri, presque personne ne lui adressait la parole plus par méfiance que par autre chose les seuls personnes qui lui parlait un peut était le vendeur de ramen chez qui il allait très souvent et le Mizukage. Il était content, il n'aurait jamais pu espérer que quelqu'un veuille bien rester plus de vingt minutes avec lui. Il n'apprit pas beaucoup de chose sur la jeune femme, mais cela lui importait peu. Quand elle eut fini sa mission, ils se dirigèrent vers un banc. Il avait envie de dormir, mais de toute façon il aurait toute la journée pour récupérer. La jeune femme l'étonna en lui demandant:

- Est ce que tu accepterais de t'entrainer avec moi? Le mizukage est disons trés occupé et n'a pas de temps à m'accorder, les autres sont d'une faiblesse affligeante. Peut etre que nous pourrions faire équipe pour nos missions et proffiter de nos dojutsu respectif pour repousser nos limites et améliorer nos jutsus....

-Pourquoi pas. Je m'ennuie à mourir en ce moment et vu que personne ne voulait faire équipe avec moi, ce serai un honneur pour moi de faire équipe avec toi. A j'aimerais juste mettre des conditions en place: Evite de me faire revoir mes souvenirs et de me rendre aveugle. Les deux seuls choses qu'il me reste de mon clan sont mes yeux et mon épée et j'y tient beaucoup.

Asahi fut ravi de l'entousiasme du chunin. Contre toute attente celui si semblait visiblement trés embalé par l'idée d'une collaboration.

*Je crois que j'ai enfin trouvé le partennaire idéal*

En effet, pour la première fois depuis sa rencontre avec le mizukage, Asahi avait trouvé une personne qui n'avait cure de ses objectifs, motivations et autres choses dont sont friands la plupart des shinobi.

- Alors disons que nous avons conclu un arrangement.

Elle lui tendit la main glaciale de Tendou afin de sceller leur accord.

- Ne t'inqiette pas, si j'ai pénétré ton ame, c'était uniquement pour sattisfaire les besoins de ma missions. Le reste ne m'interresse pas. Je n'ai pas à juger tes objectifs, ce ne sont pas mes affaires. Nous marcherons ensemble et si nos chemin doivent se separer pour diverses raisons au moins auront nous pu nous enrichir mutuellement. Les sentiments n'ont pas leur place dans la vie d'un ninja. Cela te convient il?

Elle fixa intensément Hiraku, elle fixait ses yeux, jusqu'à un point dérangeant.

- En parlant d'enrichir... une paire de sharingan doit se vendre pour une jolie petite somme, non?

Elle se leva et pris la direction de ses quartiers privés.

- Rendez vous ce soir au coucher du soleil. Choisi le lieu, il pleuvra et je te trouverai.

Elle fit quelque pas encore pui sse retourna une derniere fois vers le jeune homme assis.

- Ne fait pas cette tête... Je plaisantais au sujet de tes yeux. L'argent ne m'interesse pas.

Sur quoi, elle disparut instantanement dans la lumière de l'aube naissante, laissant Hikaru profiter de sa plaisanterie d'un gout douteux.

» Arrivée d'un genin...
» Une arrivée discrète.